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Des placements alléchants : les denrées
Les « denrées » (c'est ainsi qu'on appelle les produits de base non industriels) sont les produits de base cultivés comme le blé, le maïs, le café et le sucre, ainsi que le bétail. La presse a beaucoup parlé du prix des produits de base ces derniers temps, mais les discussions ont porté en grande partie sur l'énergie (pensons au pétrole et au gaz naturel) et sur les produits de base « industriels » comme l'aluminium, l'or, le zinc et l'argent. Alors que le prix de ces produits frôle et franchit des niveaux inégalés, le moment est peut-être venu de jeter un regard sur les produits de base non industriels : les denrées.
De nombreux facteurs ont contribué à la hausse du prix des produits de base industriels, mais le plus important est peut-être la demande croissante des grandes économies en voie de développement comme la Chine et l'Inde. En raison de la modernisation rapide de leur économie, de la croissance démographique et de la hausse de leur pouvoir d'achat, ces pays commencent à dévorer les ressources à un rythme qui rivalise avec celui de l'Amérique du Nord.
Les mêmes forces qui ont poussé le prix de l'énergie et des produits de base industriels à des niveaux inégalés se sont mises à stimuler la demande pour les denrées. Même s'il est vrai que ces produits jouissent d'une popularité constante (les populations ont toujours besoin de se nourrir), l'assouplissement actuel des prix et la hausse de la demande mondiale sont des arguments très convaincants pour les investisseurs.
La croissance démographique et l'augmentation de la richesse
On prévoit que la population mondiale atteindra 8 milliards de personnes d'ici 2025, soit quelque 2 milliards de plus qu'à l'heure actuelle. Il y aura donc beaucoup plus de bouches à nourrir, mais l'histoire ne s'arrête pas là.
En Chine seulement, la population urbaine devrait croître de 270 millions de personnes au cours de cette période, et comme les populations urbaines sont celles qui tirent le meilleur parti de la hausse de prospérité, l'incidence sur les habitudes alimentaires pourrait être énorme, surtout en ce qui concerne l'augmentation de la consommation de viande.
Il faut des céréales et du maïs pour produire de la viande et une plus forte consommation aura une incidence directe sur le prix de ces produits de base. Ce scénario se répète dans de nombreuses économies en voie de développement et les ramifications pourraient s'étendre au prix d'un vaste éventail de denrées à l'échelle mondiale.
Le développement urbain … au détriment des terres agricoles
La capacité agricole ne progresse pas au même rythme que la croissance démographique et des modèles de consommation, qui sont en pleine mutation. Alors qu'on prévoit que la population mondiale augmentera de près de 2 milliards de personnes au cours des 20 prochaines années (pensez-y, deux milliards de plus de bouches à nourrir), l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture prévoit que la superficie des terres de culture n'augmentera que de 0,2 à 0,3 p. cent au cours de la même période.
En réalité, dans de nombreux pays, l'étalement urbain engloutit les terres traditionnellement réservées à l'agriculture. Dans les années 1990, la Chine a perdu un million d'hectares de terres de culture par année au profit de l'urbanisation et de l'industrialisation. Les États-Unis perdent 400 000 hectares de terres chaque année. À moins d'une innovation technologique imprévue, la productivité par acre de terre arable ne devrait pas inscrire une hausse élevée. Par conséquent, les conditions sont en place pour une croissance importante du prix des denrées.
L'appauvrissement des sols
La baisse de capacité de production est intensifiée par les mauvaises pratiques de gestion des terres qui sont appliquées dans de nombreuses régions en voie de développement. Le surpâturage et le déboisement entraînent une dégradation intense des sols et une baisse de la productivité agricole.
Selon l'International Food Policy Research Institute, quelque 8,7 milliards d'hectares de terres sont utilisés pour répondre aux besoins des populations humaines à l'échelle mondiale, et environ 3,2 milliards d'hectares ont le potentiel d'être des terres arables. Moins de la moitié de ces terres sont utilisées pour la culture à l'heure actuelle. Les récentes études mondiales révèlent que la qualité du sol des trois quarts des terres agricoles de la planète a été relativement stable depuis le milieu du 20e siècle. Toutefois, le quart restant a été marqué par une dégradation dont le rythme a augmenté au cours des 50 dernières années. En dépit des progrès agricoles réalisés presque partout dans le monde, la productivité d'environ 16 p. cent des terres agricoles des pays en voie de développement a diminué, surtout en Afrique et en Amérique centrale. Presque 75 p. cent des terres agricoles d'Amérique centrale se sont gravement détériorées, contre 20 p. cent en Afrique et 11 p. cent en Asie.
Hausse de l'utilisation à des fins non alimentaires
Remplirez-vous un jour le réservoir de votre automobile avec des produits dérivés du maïs? Cela pourrait arriver plus tôt que vous ne le croyez. Alors que les pressions s'accentuent sur les gouvernements pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et la dépendance à l'égard des combustibles fossiles, la demande pour des sources d'énergie non traditionnelles ne cesse d'augmenter. L'éthanol est une des solutions à ce problème - un produit plus écologique que l'essence, extrait en majeure partie du maïs. Le gouvernement américain a décrété que l'usage de l'éthanol comme source énergétique devra doubler pour atteindre 7,5 milliards de gallons par année d'ici 2012.
Les denrées procurent une diversification précieuse
Les denrées n'ont aucune corrélation avec les catégories d'actif traditionnelles. Alors que le prix des produits de base utilisés à des fins industrielles tend à évoluer parallèlement aux marchés boursiers, les denrées affichent très peu de corrélation avec le rendement des principaux marchés boursiers et obligataires. Cela signifie que les denrées pourraient fournir une diversification précieuse qui permettra d'aplanir les hausses et les baisses de votre portefeuille de placement.
4 semaines du 1er janv. 1993 au 15 sept. 2006 |
S&P/TSX 60 | 0,06 |
S&P 500 | 0,00 |
Indice obligataire universel Scotia - général | -0,17 |
Comment pouvez-vous prendre part à ce marché?
Les conditions sont bonnes pour une plus forte demande à l'égard des produits agricoles à l'échelle mondiale. Mais comment les investisseurs prennent-ils avantage de ce marché? Traditionnellement, les denrées se négocient sur les bourses de marchandises, mais dans la plupart des cas, ces marchés sont le fief des professionnels - les investisseurs institutionnels. Même les conseillers financiers les plus chevronnés ne s'aventurent pas sur ce terrain. Alors comment pouvez-vous bénéficier de la hausse prévue de la demande à l'égard des produits agricoles?
Une solution simple
ONE Financial a récemment lancé un billet à capital protégé qui s'appuie sur deux grands indices des denrées : le Goldman Sachs Agriculture Excess Return Index et le Goldman Sachs Livestock Excess Return Index.
En plus de vous offrir une exposition à cette importante catégorie d'actif, les Billets Déjeuner Argent+ de ONE Financial procurent une protection à 100 % du capital, des distributions trimestrielles sous forme de remboursement de capital avantageuses sur le plan fiscal (d'après des taux assimilables à ceux du marché monétaire) et un potentiel de croissance et de revenu amélioré (jusqu'à 2X l'exposition). Il ne fait aucun doute que les billets Déjeuner Argent+ de ONE Financial sont le moyen le plus simple d'investir sur le marché des denrées. Il reste maintenant à savoir si vous êtes prêt à profiter des solides occasions que proposent les denrées.
Garantie par BNP Paribas
Les Billets Déjeuner Argent+ de ONE Financial sont garantis par BNP Paribas, la sixième plus importante banque du monde. Établie en 1848, BNP Paribas est présente dans plus de 85 pays et emploie environ 100 000 personnes à l'échelle mondiale. BNP Paribas a une valeur d'actif totalisant environ 1,7 billion de dollars canadiens, ce qui lui confère une taille comparable aux cinq plus grandes banques canadiennes combinées.
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